Georges Brassens - J'aurais pu virer malhonnête Bernard Lonjon
Livre
Article d'Occasion
Bon Etat
Auteur(s): Bernard Lonjon
Éditeur : EDITIONS DU MOMENT
Édition : Janvier 2010
Nombre de pages : 281
Dimensions : 15.1 x 2.6 x 24.1 cm
Code Cdm: 050
Résumé :
Brassens, révolté fidèle, tendre anarchiste et généreux libertaire. Sa famille fut son premier pilier. Ses copains d'enfance son second. Ses amis parisiens le troisième. Et tout le ramène à sa ville natale, son île singulière. Il a grandi entre une mère italienne et un père maçon qui chantent, comme tous les Sétois, pêcheurs et dockers, les chansons de Trenet et Scotto.
Brassens disait : " J'aurais pu être un gangster. Si je n'étais pas chanteur, c'est voleur que j'aurais été. Piquer du fric... ça doit être bath ! " Il l'a d'ailleurs été un peu lorsque, adolescent, il participa à de petits larcins dans sa ville natale. " J'ai mauvaise réputation ", " Je suis la mauvaise herbe ", " Je suis un voyou ", " J'aurais pu virer malhonnête ", chantera-t-il plus tard. Les chansons de Brassens articulent le récit de ce livre riche en histoires inédites et en savoureuses anecdotes. On y trouve entre autre le dossier des Renseignements Généraux dans lequel Brassens est fiché comme " anarchiste intellectuel qui écrit des chansons inspirées des théories libertaires, qui insulte la Police, la Gendarmerie et l'Armée et est poursuivi pour complicité d'adultère ". Cet ouvrage raconte aussi les rapports que Brassens entretenaient avec les francs-maçons et les communistes, lui qui n'a pas sacrifié à l'illusion des lendemains qui chantent et n'a jamais voté, en parfait anarchiste qu'il était : " Quand on est anarchiste, on le reste, c'est congénital. Je n'ai pas de maître. "